Travaux scientifiques sur l’eau

L’eau si familière reste substance méconnue. Elle a toujours suscité de nombreuses interrogations chez de nombreux scientifiques partout dans le monde et depuis des dizaines d’années.

Docteur Gerald Pollack

Le Dr Gerald Pollack, chercheur en sciences biomédicales à l’université de Washington et premier lauréat du prix Emoto, a découvert un nouvel état de l’eau qui va au-delà du liquide, du solide et de la vapeur. Le H3O2, parfois appelé eau gélifiée, eau structurée ou eau de la zone d’exclusion (eau EZ), se situe quelque part entre un solide et un liquide.

Une molécule d’hydrogène et une molécule d’oxygène supplémentaires la rendent plus visqueuse que H2O. C’est important car 70 à 90 % de ce que vous entendez est en fait du H3O2 dans votre corps. C’est pourquoi, si vous vous coupez, l’eau ne sort pas comme un tuyau. Vos cellules sont remplies de H3O2 plus épais.

Vous avez probablement entendu dire à maintes reprises que votre corps est principalement composé d’eau, entre 70 et 90 % selon les sources. Eh bien, il est vrai que la majeure partie de votre corps est composée d’eau, mais il s’avère que ce n’est pas H2O.

Le Dr Pollack a inventé le terme « Zone d’exclusion » (Exlusion Zone) ou « eau EZ » parce qu’il a reconnu que le H3O2 présent dans votre corps est structuré et peut bloquer même les plus petites particules.

En termes simples, cela signifie que l’eau de votre corps agit comme un filtre naturel. Lorsque l’eau de votre corps agit comme un filtre, elle empêche les impuretés de pénétrer dans vos cellules. Bien entendu, la santé au niveau cellulaire est l’essence même de la prévention des maladies.

Professeur Marc Henry

Marc Henry est professeur et enseignant chercheur à l’université de Strasbourg dirige le laboratoire de chimie moléculaire et enseigne la physique quantique.

Bénéficiant de moyens modernes, Marc Henry inclut dans ses travaux la prise en compte du rayonnement électromagnétique ainsi que la structure du vide.

La physique quantique nous apprends que l’espace entre les électrons, la matière n’est pas vide. L’eau utilise ces particules virtuelles pour créer sa nano-structure.

https://youtu.be/nJf0blEKMmw

Luc Montagnier

Luc Montagnier, virologue et prix Nobel pour la découverte du virus VIH était un chercheur à l’Institut Pasteur de Paris.

En 2010, il a présenté une expérience sur la mémoire de l’eau lors d’une conférence à Lindau ou il a démontré que de l’eau irradiée par une bobine de cuivre était capable de propager une information ADN d’un récipient à un autre, sous une influence énergétique invisible.

Pour cette expérience, Montagnier a travaillé avec des dilutions de 10 à la puissance moins 18. Résultat : il n’y avait plus une seule molécule d’ADN dans le liquide. Les signaux ont néanmoins pu être détectés dans l’eau.

Les quelques 700 scientifiques présents, dont 60 lauréats du prix Nobel ont eu des réactions allant de l’étonnement à l’horreur. Selon la conception conventionnelle et mécaniste de l’univers, ces résultats ne devraient en effet pas exister.

Ce travail l’a conduit à d’autres recherches, et finalement à des recherches sur la mémoire de l’eau.

D’autre part, il a fourni des arguments scientifiques en faveur de l’homéopathie. L’homéopathie soulage de nombreuses personnes, par exemple en cas de dermatite atopique, de fièvre, etc. Mais elle doit toujours s’entendre dire qu’elle est pseudo-scientifique. Après tout, l’homéopathie travaille aussi avec des solutions fortement diluées. Si élevées que l’effet des préparations ne peut pas encore être prouvé selon des méthodes scientifiques « correctes »

Jacques Benvéniste

Directeur de l’INSERM Jacques Benvéniste est le pionnier en France des travaux sur la mémoire de l’eau. Il a été en son temps décrié. Il s’est appuyé pour ses recherches sur la mémoire sur des travaux russes datant des années 1970.

En 1988, dans un un article publié dans la revue Nature, Benvéniste rapportait que des globules blancs appelés basophiles, qui contrôlent la réaction de l’organisme aux allergènes, peuvent être activés pour produire une réponse immunitaire par des solutions d’anticorps diluées au point de ne contenir aucune de ces biomolécules.

C’est comme si les molécules d’eau conservaient en quelque sorte la mémoire des anticorps avec lesquels elles avaient été en contact auparavant, de sorte qu’un effet biologique subsistait lorsque les anticorps n’étaient plus présents. Cela semblait valider les revendications des médicaments homéopathiques hautement dilués.

L’article annonçait que l’eau pourrait servir de « modèle » à la molécule d’anticorps, par exemple par un réseau infini de liaisons hydrogène, ou par des champs électriques et magnétiques.

A cette époque, la communauté scientifique n’avait pas encore les moyens de comprendre ce phénomène, qui restait à démontrer.

Selon lui, les biomolécules communiquent avec leurs molécules réceptrices en émettant des signaux électromagnétiques de basse fréquence, que les récepteurs captent comme des radios réglées sur une longueur d’onde spécifique.

Masaru Emoto

Emoto a fait de nombreuses expériences sur l’eau démontrant que les cristaux d’eau changeait de forme en fonction des lieux, des pensées émises, des vibrations sonores… Il prenait des échantillons d’eau puis les congelait très rapidement et pouvait ensuite observer les différentes formes et structures que l’eau prenait.

En faisant « écouter » une symphonie de Mozart à de l’eau, il constant que sa structure est jolie et harmonieuse. A l’inverse face à une musique comme du Hard Rock ou du Heavy Metal, la structure des cristaux était perturbée.

Emoto a également démontré que par la conscience, on pouvait agir sur la structure de l’eau.

Gilbert Ling

En 1919, dans son livre Life: At the Cell and Below Cell, le biochimiste Gilbert Ling explique que l’eau dans une cellule du corps humain, n’est pas sous forme liquide mais est une eau ordonnée pouvant former de grandes chaînes.

Laisser un commentaire

fr_FRFrench