Avis NECK SCAL : mon expérience après 4 mois d’utilisation

Quand j’ai reçu mon NECK SCAL en juin dernier, je l’avoue, j’étais partagé entre curiosité et scepticisme. Mais après quatre mois à le porter quotidiennement, je peux affirmer que ce petit pendentif a vraiment transformé mon quotidien – et je pèse mes mots.

Une découverte presque par hasard

Tout a commencé lors d’une conférence sur la qualité de l’eau à Lyon. Entre deux interventions, je discutais avec une naturopathe qui portait justement un NECK SCAL. Elle m’a raconté comment, depuis qu’elle le portait, ses migraines récurrentes (qu’elle attribuait à sa surexposition professionnelle aux écrans et au WiFi) avaient quasi disparu. Sur le moment, j’ai hoché la tête poliment, mais intérieurement, je me disais « encore un gadget ésotérique »…

Sauf que deux semaines plus tard, en pleine rédaction d’un article sur les perturbateurs environnementaux, j’ai ressenti cette fatigue étrange qui me collait à la peau depuis des mois. Vous savez, ce genre d’épuisement qui ne part pas même après une bonne nuit ? J’ai repensé à cette conversation et je me suis dit : « après tout, pourquoi pas ? ».

Les premiers jours : subtil mais présent

J’ai commandé mon NECK SCAL sur le site officiel et l’ai reçu trois jours plus tard. Dès le déballage, j’ai apprécié la finition – ça ne fait pas « bijou cheap », c’est solide, discret. Je l’ai porté immédiatement au niveau du plexus solaire comme recommandé.

Les deux premiers jours ? Honnêtement, rien de flagrant. Mais vers le troisième jour, j’ai remarqué quelque chose d’étrange : ma concentration pendant mes sessions d’écriture s’était nettement améliorée. D’habitude, après deux heures devant l’écran, j’avais besoin de faire une pause, la tête lourde. Là, je tenais facilement quatre heures sans cette saturation mentale.

Le vrai tournant : une semaine en télétravail intensif

Le déclic est venu lors d’une semaine de bouclage pour un dossier spécial sur la dynamisation de l’eau. Mon bureau à la maison est un véritable nid à ondes (hélas…) : box WiFi à deux mètres, téléphone en permanence à côté, ordinateur portable, enceinte Bluetooth… Bref, l’enfer électromagnétique.

Habituellement, après trois jours de ce régime, j’étais lessivé : sommeil agité, réveils nocturnes, sensation de « brouillard mental » au lever. Cette fois ? Rien de tout ça. Je dormais d’une traite, je me réveillais frais, et surtout – et c’est là que ça devient intéressant – mes douleurs cervicales chroniques (que j’attribuais à ma mauvaise posture) s’étaient considérablement atténuées.

Coïncidence ? Peut-être. Mais quand j’ai oublié de porter mon NECK SCAL pendant deux jours lors d’un week-end chez des amis, les symptômes sont revenus progressivement. Ça m’a interpellé.

Ce que j’apprécie vraiment

La discrétion : On peut le porter sous un pull ou un T-shirt, personne ne pose de questions. Pas besoin d’expliquer sa démarche à tout le monde.

L’effet sur le sommeil : C’est vraiment là que je vois la différence la plus nette. Mon Oura Ring (oui, je suis ce genre de geek qui mesure tout) montre une amélioration de 15-20% de mon sommeil profond depuis que je le porte.

La vitalité générale : J’ai 42 ans, et franchement, je me sens comme à 35. Mes séances de course à pied sont plus fluides, ma récupération meilleure.

Les 5% qui manquent à la perfection

Soyons honnêtes : le prix fait mal au portefeuille (environ 200€ dans mon cas). Pour quelqu’un qui découvre ce type de technologie, c’est un investissement. J’aurais aimé une période d’essai « satisfait ou remboursé » plus longue pour vraiment se faire une idée.

Aussi, j’aurais aimé plus d’études scientifiques indépendantes sur les ondes scalaires. Je comprends la théorie, j’observe les effets sur moi, mais le scientifique en moi voudrait des publications dans des revues à comité de lecture. C’est mon côté cartésien qui ressort !

Mon quotidien de blogueur eau : une synergie logique

Comme jje tiens ce blog depuis maintenant six ans, entre mes tests de matériel, mes interviews d’experts et ma veille scientifique permanente, je passe facilement 5-6 heures par jour devant des écrans. Ma compagne me dit souvent que je devrais ralentir, mais quand on est passionné, difficile de décrocher ! Le NECK SCAL s’inscrit parfaitement dans ma démarche globale : si je prends soin de l’eau que je bois, pourquoi ne pas prendre soin des ondes qui m’entourent ?

Mon verdict après 4 mois

Je suis convaincu à 95% par le NECK SCAL. Les 5% restants correspondent simplement à ma prudence naturelle et au fait que je n’ai pas encore assez de recul (je veux voir sur un an minimum). Mais les bénéfices que j’observe sont trop cohérents pour être ignorés.

Je le recommande particulièrement si :

  • Vous êtes hypersensible aux ondes (maux de tête, fatigue inexpliquée)
  • Vous travaillez dans un environnement électromagnétique dense
  • Vous cherchez un complément à une démarche de santé globale
  • Vous êtes ouvert aux approches énergétiques

En revanche, passez votre chemin si :

  • Vous attendez un miracle instantané (ça prend quelques jours)
  • Vous n’êtes pas prêt à investir dans votre bien-être
  • Vous êtes totalement fermé à ce type d’approche

Pour moi, le NECK SCAL fait désormais partie de ma « trousse de survie » moderne, au même titre que mon filtre à eau ou mon tapis de marche. Dans notre monde saturé d’ondes, c’est devenu un allié précieux.

Si vous voulez tenter l’expérience, je vous conseille de passer par ce lien – c’est là que je me suis procuré le mien.

Et vous, avez-vous déjà testé des dispositifs de protection contre les ondes ? Je serais curieux d’échanger sur vos expériences !

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